Akira + mini-conférence
Lundi 27 sept — 20:00
A l‘occasion de la réédition de Akira en version restaurée, Hervé Tourneur (conférencier et exploitant de cinéma) accompagnera la projection d’une mini-conférence autour du phénomène Akira (le manga, l’anime, ses influences, le mouvement cyberpunk, l’héritage, …)
AKIRA
1991 / 2h 04min / Animation, Science fiction /Japon
VOSTF
En juillet 1988, une mystérieuse explosion détruit Tokyo, déclenchant la troisième guerre mondiale. 31 ans plus tard, en 2019, Néo Tokyo, la mégalopole construite sur la baie de Tokyo a retrouvé sa prospérité d’antan et se prépare à l’évènement majeur des Jeux olympiques de 2020.
Dans l’ombre, les choses sont moins réjouissantes, le chômage augmente et les actions des dissidents se multiplient, les citadins cherchent leur salut dans les cultes religieux et les drogues. Les plus jeunes se réunissent en gang rebelles et se défient dans d’interminables courses de motos a travers la mégalopole. Au cours d’une de leurs échappées, Kaneda et Tetsuo manquent d’écraser un enfant. Un enfant étrange, au visage de vieillard, appelé n ° 26 Kaneda et ses amis sont arrêtés par la police alors que n ° 26 et Tetsuo, blessé, sont emmenés par l’armée. Tetsuo est prisonnier d’un laboratoire et devient l’objet de tests ultrasecret qui le dotent de pouvoirs surnaturels. C’est là qu’il apprend qui est AKIRA, ce garçon a la force incroyable a l’origine de la destruction de Tokyo, il y a 31 ans.
Mini-conférence – 40min
A l‘occasion de la réédition de Akira en version restaurée 4K, Hervé Tourneur (conférencier et exploitant de cinéma) accompagnera la projection d’une mini-conférence autour du phénomène Akira (le manga, l’anime, ses influences, le mouvement cyberpunk, l’héritage, …)
Hervé Tourneur
Avant tout amoureux du cinéma, Hervé Tourneur cherche à transmettre une appétence pour l’analyse d’une oeuvre, la découverte d’un auteur ainsi que les enseignements apportés par la lecture ou la création de l’image. Refusant toute spécialisation, défendre Ridley Scott, John Carpenter ou Satoshi Kon n’est pas renier Robert Bresson ou Kenji Mizoguchi. Par ailleurs, si le cinéma est un temple à ses yeux, il lui semble essentiel de considérer les séries et le jeu vidéo avec curiosité et bienveillance au moins dans le cadre de l’éducation aux images voire de programmation transversale.
En partenariat avec CINA et l’ADRC.
Un film présenté dans le cadre du Festival Play It Again.